Le numéro 57 de MathémaTICE vient de paraître.
Les articles du numéro :
- Alexis Lecomte présente un projet de bac original de deux élèves d’ISN : des animations programmées en Python et projetées lors d’un spectacle vivant au Cirque-Théâtre d’Elbeuf (voir) ;
- Patrick Raffinat montre comment faciliter la transition entre programmation visuelle au collège et Python au lycée, en s’appuyant sur le logiciel SofusPy et/ou le logiciel PluriAlgo, dont les nouveautés de la version 2017 sont présentées (voir) ;
- Un siècle avant la promotion de la numération binaire par Leibniz, le baron John Neper inventa un artéfact permettant d’effectuer des calculs binaires sans le dire. Près de quatre siècles plus tard, Alain Busser utilise cet artéfact en ICN, dans une classe de Seconde. La séance fait partie d’une séquence pédagogique consacrée au binaire et décrite dans cet article (voir) ;
- Patrice Debrabant modélise les pyramides, les pyramides à degrés, et la transition des secondes (le stade un peu grossier) vers les premières (l’achèvement, la perfection). Scratch, tableur et géométrie dynamique sont du voyage. Ce sujet peut faire l’objet d’un EPI (voir) ;
- Richard Gomez propose un programme en Python capable de trouver tous groupes finis d’ordre inférieur ou égal à 6. C’est l’occasion de revenir à la notion de groupe et d’y travailler au moyen d’un langage informatique privilégié par les programmes de Lycée (voir) ;
- Alain Busser et Patrice Debrabant réalisent une synthèse entre les spirolatères, les courbes fractales de Michel Mendès-France et la géométrie différentielle. Pour étayer leur exposé, ils mobilisent différents logiciels de géométrie dynamique (en particulier DGPad) et/ou des logiciels tortues (en particulier Python) (voir) ;
- Patrick Raffinat montre comment créer des rapports statistiques avec RMarkdown, une librairie du logiciel R. Il combine ensuite RMarkdown et programmation visuelle pour proposer une extension statistique de Blockly, exécutable en ligne grâce au serveur R OpenCPU (voir) ;
- David Crespil raconte l’histoire de la précession des équinoxes, une des découvertes majeures de l’astronomie. Ce phénomène a été mis en évidence il y a environ 2000 ans grâce au talent des astronomes grecs comme Hipparque et Ptolémée, s’appuyant sur les mesures de Timocharis d’Alexandrie. Newton, grâce à l’attraction universelle, commença à l’expliquer... (voir) ;
Pour compléter :
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G. Kuntz