Le week-end dernier, le seuil des 30 000 inscrits a été franchi pour le nombre d'abonnés à lettre Sésamath.
Il faut croire qu'on aime bien les nombres un peu ronds, c'était déjà le cas avec les 5 000 inscrits à Sésaprof.
Certes, cela fait toujours un peu "auto-promotion", mais après tout, il n'y a pas grand mal à auto-promouvoir de temps en temps un projet un peu fou comme Sésamath.
Mais qui sont donc tous ces inscrits à la lettre de Sésamath ? Et bien sachez qu'on retrouve environ 50% de profs (de Maths pour l'écrasante majorité, mais pas uniquement), 40 % d'élèves et 10% de parents.
Le système d'envoi de la lettre permet de la cibler parfois sur les seuls enseignants et plus rarement sur les élèves et parents.
Cette lettre est en train de changer profondément, puisque des nouveaux espaces spécifiques se sont créés dans Sésamath pour les enseignants (avec une lettre Sésaprof) et prochainement pour l'accompagnement à la scolarité (élèves et parents).
Au moment de l'inscription à cette lettre, il est possible de laisser un petit message de soutien ou d'encouragement. C'est donc déjà plusieurs milliers de tels messages qui ont été écrits. Parfois, sur la liste des membres de l'association, Benjamin nous fait passer une petite sélection des plus récents... évidemment, ça fait toujours grand plaisir !
J'ai profité de ce billet pour aller relire la première lettre de Sésamath. Elle sont toutes archivées sur le site. Cette première lettre remonte au 6 Mars 2002, presque 7 ans déjà. J'étais alors président de l'association. Nostalgie, quand tu nous tiens !
Cette phrase en particulier me fait sourire avec le recul : "En particulier, beaucoup des messages de soutien que vous nous avez adressés commencent à porter leurs fruits auprès de l'Education Nationale. Nous vous en remercions et vous tiendrons au courant des évolutions.". On est un peu naïf quand on est jeune (et même après) !
Juste peut-être pour terminer, cette phrase que je ne renierai pas, bien au contraire :
"N'hésitez pas à parler de sésamath autour de vous. Le nombre fait aussi la force dès qu'il s'agit de lutter contre la marchandisation."